dessin fleurs prairies champs bois grande ortie - urtica dioica

Quoi de mieux qu’une mauvaise herbe pour une cuisine zéro déchet?

J’ai toujours entendu dire qu’on pouvait la cuisiner, mais je n’avais jamais encore osé me lancer. Et puis j’ai eu la chance d’aller à un atelier sur les herbes sauvages et depuis, je n’arrête plus!

Ce que je trouve le plus fou, c’est de voir à quel point le bon sens et les traditions de nos grand-parents, voire arrières grands-parents, se sont perdus au profit, bien souvent, de la mal bouffe; plombant nos portefeuilles et notre santé! Enfin bref, je m’éloigne un peu…

J’ai donc (re)découvert cette plante qui s’avère être un excellent légume, très nutritif, commun, abondant et facile à reconnaître! Sa saveur est douce et typée à la fois.

Le printemps est la meilleure période pour la cueillir, en préférant les deux dernières paires poussées, plus tendres et moins amères.

Alors ne faites pas comme moi au début (la gourde…) et utilisez des gants même si certains avec de l’expérience arrivent à la manipuler sans, moi je n’y suis pas arrivée …

On peut donc les consommer cuites (en légumes), ou séchées (en tisane par exemple).

Voici quelques recettes de ce que je me suis amusée à faire:

Bon appétit!